Réjouis-toi,
Mon
amour, réjouis-toi !
Nous
aurions pu ne jamais nous connaître,
Dans
la nuit, j'aurais pu ne pas te voir apparaître.
Alors,
les étoiles, pour nous, n'auraient pas scintillé.
Nos
chemins auraient pu ne jamais se croiser.
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Le rêve des amoureux |
Même si pour certains, notre union n'a rien de sacré,
Devant
les hommes, nous nous sommes mariés.
Personne,
même la mort, ne pourra nous séparer,
Jusqu'au
bout, nous irons, les mains enlacées.
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Fleurs au-dessus des fiancés bleus or Les amoureux bleus |
Réjouis-toi,
Mon
amour réjouis-toi !
Pour
toi, je serai toujours là, tout près de toi.
J'ai
fait tout ce chemin pour arriver sous ton toit.
Où
je continue d'écrire ces serments poétiques,
Où
je te prouve, de notre amour, le magique.
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Les amoureux sur fond bleu |
Je te dois tout, de ce don venu de je ne sais où.
Il
fait de moi ce vieux rimailleur un peu fou,
Prêt
à écrire ton nom sur tous les murs de la ville,
Jusqu'à
ce qu'un jour ma plume prolifique vacille.
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Les amoureux |
Mais
réjouis-toi mon amour,
Réjouis-toi
!
Longtemps
encore, j'aurais cette persistante fièvre,
Pour
écrire tous ces mots, et les déposer sur tes lèvres,
Pour
qu'à jamais, ma poésie soit ce jardin enchanté,
Où,
comme au tout premier jour, j'aime te retrouver.
Christian Bailly
Tous droits réservés
27/05/2025
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