Ô. Sète !
On
ne se lasse pas de te regarder...
On
ne se lasse pas de t'admirer...
On
ne se lasse pas de te photographier...
Pour
parler de toi, il y a le pinceau,
Plus
moderne, l’appareil photo,
Plus
classique, la saveur des mots.
Un
rayon de soleil, tu t’éveilles,
Plein
soleil, tu nous émerveilles,
Jusqu’au
coucher de soleil…
La
nuit, tu scintilles, tel un diamant,
Tu
effleures les astres, au firmament,
Et
attends le prochain soleil levant...
Ô.
Sète !
On
ne se lasse pas d’y venir,
D’y
revenir…
Et
d’y vivre…
C’est
sur tes rivages,
Baignés
de ta lumière,
Que
j’aimerais mourir…
Mais
rien ne presse !
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