Illustrations : Archives sur le net
Sur un air de
musette,
Ils faisaient la
fête,
Sans perdre la tête,
Pour un combat honnête.
Pour un monde
meilleur,
Des chances de
bonheurs,
Sur les lieux de
labeurs,
Pour défendre leurs
valeurs.
Ils occupaient la
place,
Voyaient la réalité
en face,
Le poing levé et
pugnace,
Les patrons en
disgrâce.
Sur un air
d’accordéon,
Au milieu des flonflons,
Un relent de
révolution,
Pour vaincre avec
passion.
Contre le
capitalisme,
Un nouvel idéalisme,
Un novateur réalisme,
Dans la société, un
séisme.
Enfin pour les
salariés,
Droit aux congés
payés,
Élection de délégués,
Horaires diminués.
Sur un air populaire,
Un espoir libertaire,
Pour tous ces
prolétaires,
Un sacrifice
salutaire.
Sur un air de
musette,
Ils ont fait la fête,
Sans perdre la tête,
Fêté une lutte honnête.
Aujourd'hui…
Où sont nos combats ?
Sans sourciller, pas à
pas
Les travailleurs, les
ouvriers
Perdent ce que 36 a
su gagner.
Christian Bailly
Tous droits réservés
06/11/2013
il est grand temps de retrouver le calme qui apporte le respect, la conscience de ce qu'on fait ou ne fait pas, le vrai contact qui est une ouverture au dialogue
RépondreSupprimerJe pense que le dialogue n'est pas vraiment possible entre le monde de l'argent et la rue... Ils vivent dans leurs tours dorées et son loin de nos préoccupations... Aujourd'hui, pour eux, seul le profit compte... Ils n'entendent pas ou ne veulent pas entendre les messages envoyés par le peuple qui souffre au travail pour eux, pour essayer de vivre dignement voir pour certains pour survivre... Le peuple n'est pas "jaloux" comme Macron essaie de nous le faire croire, non, le peuple veut seulement avoir de quoi vivre honorablement et être respecté.
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