Bonjour tristesse !
Je t'aime, je le confesse.
Avec toi pas d'histoire de fesses,
Un amour unique, sans S.
Tu es Ma Comtesse.
Accrochée à mon esse.
Depuis ma tendre jeunesse
Jamais d'intensité, tu ne baisses.
Sur moi, tu as tissé ta tresse.
Pas un jour de paix, tu me laisses.
Tiraillé par toi sans cesse,
Mon cœur, par toi, se blesse.
Mon corps, ta tyrannie, encaisse.
Tu me dictes ta messe,
De ma vie, tu es l'abbesse.
Chaque jour un peu plus tu me presses.
De penser à toi, je n'ai de cesse.
Mais de cette idée, je me confesse,
Un jour viendra où je serais en caisse,
D'un autre, alors, cherche à devenir l'hôtesse,
Christian Bailly
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Ce conte de "S"
RépondreSupprimerMe laisse sur les fesses !!!!
Bisous d'allégresse !!!!
Mmmmmmm ! J'espère que tu ne t'es pas fais mal... qu'elles ne sont pas trop talées ... ;-)
SupprimerMerci pour ta gentillesse sans cesse renouvelée.
Bisous ma belle et belle nuit !
Amicales pensées
Triste ,lucide ,plein d'espoir .
RépondreSupprimerBonsoir Jean-Jacques... Merci pour ton passage sur ma page et pour ton petit mot.
SupprimerAu plaisir de te lire. A bientôt... Amicalement
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RépondreSupprimerLéticia Trézères Très jolie mais mélancolique
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Christian Bailly
Christian Bailly Léticia Trézères une époque où je n’étais pas très bien quand je l’ai écrit... mais j’ai été toute mon enfance très mélancolique en vérité. Merci pour ton passage sur ma page. Belle journée....